Agenda

En famille !

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Samedi 29 juin
Lieu/Heure : (18h30)
Entrée : Libre

Samedi 29 juin – 16h00 – Théâtre – Théâtre de Verdure

Rencontre des ateliers de pratiques artistiques

Avec la Troupe des enfants de Togoudo, les jeunes danseurs et danseuses des ateliers de Wâlo dance center et de Sémé Podji, les comédiens du projet théâtre Agoué 2050.

Dans le cadre des projets soutenus par l’IFB via son dispositif d’aide à l’implantation territoriale, plusieurs ateliers de pratique artistique ont été menés avec des enfants et adolescents, à Sémé Podji, Calavi, Togoudo ou Agoué.

Ces jeunes seront réunis pour présenter leurs différents spectacles. Une occasion pour eux et leurs familles d’apprécier le travail accompli par les uns et les autres et la singularité de leurs propositions, en présence du public.

 

Samedi 29 juin – 20h30 Marionnettes – Paillote

Le bal poussière

Avec : Marie Vissého, Augustin Aballo, Fadel Amah, Modeste Akomahou, Romaric Adjogbe, Elysé Maforikan, Geoffroy Hazoumé, Camille Trouvé, Jonas Coutancier (marionnettistes) ; Arnaud Biscay, Simon Drappier (musique) ; Nadège Odjo (couturière) ; Brice Bertoud (mise en scene, régie) ; Tania Wolke (son)

Dansons tant qu’il en est encore temps !

Un orchestre, des meneuses de Bal, des marionnettistes et une foule de danseurs… Une piste de bal implantée sur la scène du théâtre, un plateau de jeu transformé en dancefloor, c’est le Carnaval de la vie. 

Les marionnettes attendent sagement sur les portants de part et d’autre de la scène. Il n’y a plus ici ni public ni acteurs, seulement une foule accueillie au Bal pour mettre en mouvement cette multitude d’êtres inanimés. Alors on se laisse emporter… Et au bout de la nuit, on sera bien en peine de dire qui du pantin ou de l’humain nous a entrainés dans cette danse du diable.

Le bal poussière marionnettique est le fruit d’un compagnonnage entre le Centre dramatique national – Rouen Normandie, dirigé par les marionnettistes Camille Trouvé et Brice Bertoud, directeurs de la compagnie Les Anges au plafond, et les marionnettistes béninois. Ce projet a pu voir le jour car au soutien de l’Institut français de Paris.

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